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" Une image vaut mille mots. "


Confucius










 
Salut ! Ce blog s'appelait MA-cine74, avant. Si tu veux des critiques de films, mais aussi discuter livres, séries et culture en général, tu es à la bonne adresse ! Alors bienvenue sur mon blog, fait comme chez toi, n'hésite pas à me parler ; Je suis gentille !     Laurie.

 

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#Posté le vendredi 03 avril 2015 07:00

Modifié le dimanche 17 février 2019 06:33

The Day After We Broke Up

The Day After We Broke Up
Série coréenne de 8 épisodes de 30 minutes, diffusé en 2016.
Synopsis :Yu Tan est le leader et vocaliste d'un groupe appelé One More Time, qu'il a formé avec ses amis d'enfance et sa petite amie Da In depuis maintenant 10 ans. Malgré leur talent et ambition, les années passent et le groupe ne connaît pas le succès qu'il espérait. Avec le temps, Yu Tan commence à ne plus s'entendre avec les autres membres de son groupe. Le 4 octobre il reçoit un avis d'expulsion d'une maison de disques. Sous le coup de la colère et du désarroi, il quitte sa petite amie et finit par se noyer après avoir fait la rencontre d'une mystérieuse petite fille au manteau rouge. Le lendemain à son réveil, il se retrouve à revivre le même jour du 4 octobre qui finalement se répétera indéfiniment.
 
Je n'ai pas aimé cette série. Je l'ai terminée parce qu'elle était ultra courte, mais franchement j'ai perdu mon temps. Il y a vraiment peu de choses que j'ai apprécié, en fait, ça tient sur un post-it. Il n'y a que deux points. Le premier point, c'est le jeu d'acteur de L (YuTan) : je l'ai déjà vu dans d'autres dramas, et bien sûr dans le groupe de musique Infinite. Je l'ai toujours trouvé très bon dans des expressions de confusion et de naïveté. Il est vraiment drôle quand il fait son truc, et c'est devenu sa marque de fabrique, depuis. Mais je ne l'avais jamais vu dans des registres plus colériques, comme c'est le cas des premiers épisodes de cette série. C'est vraiment dommage que ce soit si mal filmé, parce que L qui joue la colère, la dépression et la folie, ça valait vraiment le coup à cause du contraste avec son visage si doux. La seconde chose que je trouve sympa, c'est le thème de l'industrie musicale coréenne, qui comme chacun le sait, n'est vraiment pas tendre avec les musiciens, même extrêmement doués. Il y a peu d'élus, et beaucoup trop d'aspirants à la célébrité, ce qui finit parfois en désespoir. Évidemment, la série ne fait que 8 épisodes et se concentre principalement sur la romance, donc le sujet n'est pas abordé en profondeur.
 
Autrement, je ne sauve absolument rien de cette série, et vais probablement l'oublier dès demain. Cette série a été écrite par des scénaristes fainéants, qui se sont dit : « Et si on mélangeait Un jour sans fin et Eternal Sunshine of the spotless mind, et qu'on le rendait chiant ? ». Je ne comprends pas comment on peux écrire quelque chose d'aussi nul sans glisser quelque chose en plus. À part peut-être les chansons de la série, mais franchement, j'ouvre YouTube et j'ai de la k-pop cent fois meilleure (Infinite y compris). Il n'y a pas Bill Muray ni son humour, et il n'y a pas Michel Gondry à la réalisation, dans cette série. On s'ennuie royalement. On déprime.
 
Le n½ud du conflit de la série vient du fait que la fille (Da In) est suicidaire, dépressive, et qu'elle a voulu se suicider le jour où elle a rencontré Yu Tan. Elle a donc supplié un ange de la mort de lui laisser du temps pour vivre son amour avec ce garçon. Donc oui, clairement, on n'est pas là pour s'amuser : ici, on va parler de mort à répétition, de destin, de dépression, et d'amour qui se fane. C'est loin d'être joyeux. Et clairement, je n'étais pas dans le bon mood quand j'ai vu cette série.
 
Le pire pour moi, c'est l'écriture du personnage féminin. Pendant les quatre premiers épisodes (donc près de la moitié de la série), Da In n'a absolument AUCUNE personnalité. On sait juste qu'elle veut offrir une écharpe à son copain ingrat, qu'elle cuisine pour lui sans qu'il touche à quoi que ce soit, qu'elle compose pour lui, qu'elle s'inquiète pour lui... bref, c'est sa mère. C'est quasiment impossible de s'attacher à ce couple, parce que le personnage féminin est transparent (ça s'arrange peu dans la suite, parce qu'elle est dépressive, et que visiblement elle ne vit que pour un mec, ce qui est quand même sacrément triste quand on y pense), mais aussi parce que le personnage masculin est abominable. Je suis désolée, mais il profite d'être piégé dans une boucle temporelle pour tromper allégrement sa copine, je trouve ça un peu minable. Et encore, c'est pas la pire chose qu'il a fait.
 
Ah, et je l'ai déjà mentionné, mais c'est mal filmé. Je n'ai plus la patience, et je suis trop exigeante, aujourd'hui.
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#Posté le vendredi 01 janvier 2021 11:53

My Gear and your Gown

 My Gear and your Gown
Série thaïlandaise de 12 épisodes de 40 minutes, diffusée en 2020 et disponible sur la chaîne YouTube de GMMTV.
Synopsis : Pai est un étudiant en médecine et un ancien président du club académique de l'école. Il n'a pas confiance en son apparence et ne croit pas en l'amour. Mais quand il commence à faire connaissance avec Itt, un bel étudiant en ingénierie, l'ancien président du club de sport, à qui il donne des cours particuliers. Pai va alors ressentir peu à peu des sentiments pour Itt.
 
Dans le monde merveilleux des BL (Boys Love, des histoires romantiques homosexuelles masculines), la Thaïlande s'est imposée en popularité pour ses nombreuses séries télévisées à bas coup et à scénarios parfois problématiques. Les deux problèmes de ces séries sont les suivants : petit un, la mise en scène me fait pleurer des larmes de sang à la fois des yeux et des oreilles, tellement c'est du je-m'en-bats-les-steaks de la façon dont l'image va ressortir, du moment que les acteurs portent tout sur leurs épaules. Petit deux, il n'est pas rare que le scénario fasse passer le non-consentement, voir le viol, comme quelque chose de léger et apte à ouvrir sur une histoire romantique. C'est extrêmement problématique. Mais heureusement, ce genre de série est très populaire dans le monde, et ces travers scénaristiques sont pointés du doigt et dénoncés, ouvrant la porte à des histoires plus seines, plus respectueuses de la communauté LGBTQ+, et surtout plus intéressantes à suivre.
 
Il faut aussi savoir que j'ai regardé des tas de truc dans le genre du BL, cette année. Et au début je trouvais ça assez honteux, mais en réalité ça ne l'est pas : la représentation de la communauté LGBT dans les pays asiatiques dans les ½uvres audio-visuelles est encore très frileuse, parce que la société asiatique avance à pas de fourmi dans ce domaine. Certains pays sont plus avancés que d'autres, cependant : c'est le cas de la Thaïlande qui a autorisé le mariage entre personnes du même sexe, cette année (eh oui, 2020 n'a pas été pourri partout, c'est dingue!), ou de Taïwan, qui met un point d'honneur à souligner son énorme différence sociétale avec la Chine continentale (où être homosexuel est illégal, je le rappelle). La Corée du Sud commence timidement à produire quelques trucs intéressants, tandis que les Philippines commence lentement à concurrencer la Thaïlande sur des web-séries de qualité (#Gaya Sa Pelikula, un énorme coup de c½ur pour cette série pleine de justesse, de subtilité, et de tendresse). On peut aussi citer le Japon, qui lui aussi produit des séries de qualité, notamment parce que la culture manga est très développée, et que les moyens sont mis pour une réalisation particulièrement soignée. Bref, l'Asie a ouvert un fond de commerce extrêmement florissant, parce que ce genre d'histoire finit bien, en général, et que c'est important qu'elles se terminent bien – les personnages qui meurent parce qu'ils sont gays, ça a finit par lasser, étrangement. Évidemment la grosse exception c'est la Chine continentale, qui censure régulièrement des séries de ce genre à cause de leur contenu, justement. Quoi que c'est discutable, parce qu'il y a des séries qui réussissent l'exploit de contourner cette censure, et qui en deviennent extraordinaires de subtilité (salut The Untamed ! Un jour j'écrirai un article sur toi...).
 
Mais revenons-en à notre série du moment. Même si les deux gros pavés que j'ai écrit sont longs et incomplets, ils permettent de mettre My Gear and your Gown dans son contexte : c'est une énième série BL produite par l'écurie GMM, une chaîne télé thaïlandaise qui produit des tas de séries de ce genre, et dont la plupart sont de bonnes séries (on peut citer SOTUS, 2gether, et j'en oublie). La série arrive après des monstres de popularité, et ne connaît pas pour l'instant, le succès de ses prédécesseurs. On la dit trop lente, même si on souligne son côté « mature » et « réaliste ». Personnellement, je trouve la série pleine de défauts (et on va y revenir), mais la lenteur n'a jamais été un problème pour moi, au contraire : c'est grâce à ça qu'on voit que le scénario prend son temps pour se développer, et que sa qualité s'en trouve automatiquement améliorée.
 
My Gear and your Gown comporte des points positifs non négligeables, et le premier d'entre eux, c'est le scénario. Il n'est pas parfait, bien sûr, mais j'ai aimé le personnage secondaire de Pure : ce garçon est une représentation bisexuelle, actif sexuellement, et la série ne porte jamais aucun jugement là dessus (et c'est vraiment trop cool). Ce personnage est un dragueur libéré, qui n'accepte pas les contraintes des sentiments, et cela pendant une bonne partie de la série. Au début pourtant, on apprend qu'il ne se protège pas (et donc qu'il ne protège pas ses partenaires sexuels), ce qui va l'amener à faire un dépistage du VIH. C'est la première fois que je vois cette thématique aussi frontalement abordée dans une série BL thaïlandaise, et c'est un point fort. Certes, il y a des faiblesses de scénario sur le sujet, et je trouve aussi qu'on ne montre pas assez la gravité de l'inconscience de Pure. Mais la thématique a le mérite d'être abordée, c'est déjà un sacré pas en avant.
 
Ensuite, j'ai trouvé tous les acteurs très bons. Ils sont très bien dirigés, et comme c'est souvent là dessus que repose le succès d'une telle série, il fallait que ce soit à la hauteur. Enfin, autre chose de marquant pour cette série : j'ai pris plaisir à suivre tous les couples. En général les rôles secondaires sont plus intéressants, mais ici j'ai pris plaisir à suivre le couple principal Pai/Itt, tout comme celui de Pure/Folk. Il y a une vraie évolution dans les caractères de ces personnages, que l'on suit du lycée à l'Université, chose assez rare quand on sait que ces séries prennent souvent place dans l'un ou l'autre, mais jamais dans les deux à la suite.
 
Cependant, ce n'est pas une série majeure, et j'en ai probablement une demi-douzaine d'autres à vous conseiller avant de voir celle-ci. On n'échappe pas à un certain nombre de clichés, comme les étudiants en ingénierie, le bénévolat dans un coin reculé de la Thaïlande (au bord de la plage, si possible), le foot, le basket et la guitare. Ça sent même parfois salement le recyclé, notamment avec une introduction au système SOTUS, ou à cause de têtes d'acteurs beaucoup trop vus dans d'autres séries à succès. Autre point négatif : les décors réutilisés. Si on est attentif, il y a des décors qui ont servit dans d'autres séries récemment, ce qui confirme le côté cheap et pas très qualitatif du soin apporté à la mise en scène. (note à moi-même : le décorateur s'est même permis de mettre un poster d'Antoine Griezman dans la salle du club de foot, au lycée. S'il avait bien fait son boulot, il aurait su que c'était M'Bappé qu'il aurait fallu mettre, lol)
 
Mais pour moi, le plus gros problème de cette série, c'est sa communication. Si on cherche My Gear and your Gown sur YouTube, on trouve facilement, mais il faut savoir que les titres des vidéos sont en thaï, et donc pas traduits en anglais (les sous-titres le sont, par contre). Je pense que l'absence d'un titre en anglais freine beaucoup de monde, ce qui va empêcher la série de proprement décoller.
edit : Et bien sûr, j'ai oublié d'en parler, mais il y a un problème d'écriture sur la relation entre Itt et Pai. En effet, la romance tient sur le fait que Pai est riche et intelligent, mais maladivement timide, tandis que Itt est populaire et très beau, mais n'est pas très bon à l'école. Ces deux personnages tiennent l'un à l'autre sans se l'avouer, et ils vont tout faire pour que l'autre atteigne ses objectifs, parfois en agissant dans l'ombre. C'est chou, et ça pourrait s'arrêter là, ce serait parfait. Seulement le but de Itt est de rendre Pai plus à l'aise à l'oral, devant les gens, et pour ça non seulement il le force à se mettre dans des positions où il n'est pas à l'aise, mais en plus de ça il le bouscule au point d'être du harcèlement. Et même si il veut le meilleur pour Pai, ça n'excuse pas son comportement. Il ne me semble pas qu'il s'excuse à aucun moment, et ça m'embête.
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#Posté le mercredi 09 décembre 2020 09:15

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